الثلاثاء، 27 يوليو 2021

دراسة نقدية بقلم الكاتب الألباني Adem Xheladini في ديوان الشاعرة الأستاذة إيمان المليتي "White Tulip"

 Le bateau de l'espoir pour déplier les pétales de la tulipe blanche

(Essai sur le recueil poétique "White Tulip" de la poétesse Imen Melliti)
Lorsqu’ on déplie les feuilles de la tulipe blanche, on ne peut qu'admirer ces pétales par pétales et de là sucer le nectar que la poète Imen Melliti a apporté comme par magie au lecteur.
Alors que vous vous efforcez pas à pas de dire l'invisible qu'à l'intérieur de l'âme poétique la foi vient comme la paix intérieure et comme le vent du changement et tombe comme la pluie du cœur, après une douleur rêveuse d'une femme luttant contre le piétinement global de son destin, car le temps d'atteindre le ciel viendra au bon moment.
Et pourtant, ce temps vient et l'auteure invite l'endurance à l'inflexible et prie pour que l'eau turbulente n'avale pas la foule, car le jour de la mort, tout semble carré et alors on se rend compte que la valeur de l'homme lui-même est universelle, que est, ce que nous avons fait pour l'avenir, nous n'avons pas collecté des sacs d'or.
Bien qu'écrite dans le style de la poésie moderne, mais pourquoi pas avec un piquant post-moderniste, l'auteur ne peut s'empêcher de nous apporter des paysages de l'environnement où elle vit, de l'ancienne tradition de sa patrie, de l'amour cultivé, notamment au créateur et ancêtres.
Bien que la poésie arabe se situe au sommet de la littérature, en particulier celle classique du monde des paroles et du lyrisme inévitables, l'auteur à travers un esprit moderne, lui donne une impulsion vers l'avenir et lui apporte de la fraîcheur à travers des figures stylistiques très condensées.
Il est à noter que dans le vers du poète Imen Melliti, le point de vue se détache à travers les couleurs de la vie, c'est-à-dire celui de l'être, que l'on appelle en littérature l'existentialisme, mais aussi l'enveloppant d'un style particulier, qui pour une jeune auteure comme Imen Melliti, cette ouverture semble audacieuse et pleine d'espoir!
La puissance expressive métaphorique de l'auteur ressort parfaitement dès le début de la lecture, où l'on a la « déchirure transparente » comme événement et « au fond de la mer, on retrouve les joyaux dans une coquille fermée ».
Plus loin, le pèlerinage se poursuit "pas à pas / à petits pas", ce qui vient définitivement comme une invitation à "abandonner la tristesse" que "demain / nuit noire / se lèvera / au soleil du jour", à apaiser l'intérieur " vient " comme une renaissance dans chaque mort "...
Dans le poème "au jour de la terre" l'auteur nous apparaît aussi comme un illustrateur du temps où l'humanité fait face à la hyène du siècle que la science de la médecine a baptisée de "Corona", semant l'espoir que "nous avons compris le valeur de la prière" et "devrait prier Dieu", où l'auteur apporte une image d'une réalité universelle, une triste expérience moderne, où pour saisir la chance de vivre, tous les efforts sont faits par chacun.
Mais la douleur et le désir ne peuvent-ils pas faire partie de nos vies ?! (il me semble qu'il n'en est rien !...) et le poète a quand même raison, car dans les vers du "vent du changement" elle apporte le vol "des oiseaux désespérés/devenus lumière. pour disperser les ténèbres/de l'oppression" qui apportera alors "l'odeur du jasmin/comme la pluie pour essuyer les feuilles de la poussière".
Les versets "quand il est temps d'atteindre le ciel" ne peuvent manquer de vous enchanter par leur puissance expressive car "un jour viendra ... / quand l'amour sera consumé / les souvenirs s'effaceront / les douleurs seront avalées; "Le destin signifie le dernier mot."
Et pour prouver tout cela, l'auteur nous apporte comme conclusion de ce cycle poétique « le jour de la mort » ; non pas comme de la tristesse, mais comme un reflet de la responsabilité, qu'un jour tout se termine par le contenu du poème "la main chaude de ma mère / a touché mon visage froid / a fermé mes yeux endormis / pour le dernier adieu".
Il est clair que l'âme du poète a erré à travers les hauts et les bas de la vie, un chemin encore difficile à franchir, mais toujours à la recherche de l'espoir qui est quelque part, et dans la plupart des cas à travers les vers de l'auteur comme don de le Créateur du monde, c'est-à-dire Dieu lui-même, le visage du père comme amour, comme salut ; et la douleur comme un don qui aide à un amour sublime.
Il faut dire encore une fois que bien que la première œuvre poétique de l'auteur "Tulipe Blanche" vienne avec la couleur de la vie, ce qui nous prouve que "le jasmin" est pourtant un sublime sacrifice, pour vivre et profiter soit de sa douceur soit de son amertume , et la mer est le plus parfait synonyme de vie car avec sa profondeur elle porte sur ses épaules sa frêle barque. Bref, le bagage littéraire de l'auteur Imen Melliti est imprégné d'un large éventail de connaissances sur les théories littéraires, qu'elles soient passées ou modernes.
Adem Xheladini, 25 Juillet, 2021, Kërçovë, Macédoine du Nord

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